BRESIL 2014

Equipe de France

Deschamps : "Il faudrait beaucoup plus pour gâcher notre joie"

Vous avez éteint votre télévision au coup de sifflet final ? Vous avez préféré rêver des huitièmes plutôt que de voir l'après-match de TF1 ? Rassurez vous, ce matin au réveil, nous vous racontons tout ce que vous auriez pu louper.

Sakho-itw

Pour commencer, Mamad' vous remercie et vous a fait une "spéciale dédicace" ! Oui, à vous qui vous levez tôt pour travailler, à vous qui les supportez, qui les aimez, qui chantez, qui vivez Bleus, Sakho a pensé à vous ! En gros le défenseur tricolore aurait presque pu dire : "Bisous les mecs, et bon courage pour aller bosser, moi demain je vais me dorer sous le soleil de Copacabana" Mais c'était sympa quand même. Parce qu'il avait le sourire Sakho, malgré le match nul. Et puis on l'aime bien mine de rien. Il est bon quand même et la bonne nouvelle c'est que le bandage que lui a mis le staff médical sur la cuisse pendant le match, c'était pour une béquille. Rien de grave.

Rien de grave, c'était un peu le discours hier. Didier Deschamps en premier. Qu'importe cette fois si son équipe est restée muette. Ce qui comptait, et on s'accordera sûrement presque tous là dessus, c'était la première place du groupe - et éventuellement le fait d'éviter l'Argentine en huitièmes. Le premier objectif est donc atteint. Remarquez au passage que la France fait mieux que ses voisins européens et juste ça, c'était assez inattendu. D'ailleurs cela, Deschamps ne l'explique pas vraiment : "C'est dur d'expliquer l'échec de grandes nations. C'était dur pour ceux qui ont joué dans le Nord du Brésil." Donc c'était peut-être la météo. De toute façon ce n'est pas notre problème, nous, on est qualifié.

La suite ?

La suite c'est le Nigéria. Et attention à cette équipe. Encore une fois, tout le monde sera d'accord pour dire que cette équipe est à la portée de la France. Mais hier soir, le mot d'ordre, c'était la prudence : "Cette sélection n’est pas là par hasard. On les a déjà vus." (Deschamps). "Il n’y a pas d’adversaire facile, on l’a vu ce soir. Tout se jouera au mental et à la détermination." (Benzema) Mais ce sera aussi une affaire de supporters. Ici comme au Brésil, tout le monde sent bien que la mayonnaise commence à prendre. Oui disons le vraiment : Nous aimons cette équipe de France qui termine première de son groupe et qui sourit à son public ! Ca fait un petit quelque chose quand même de dire ça. En plus Deschamps nous autorise à le dire : "Je ne reproche pas aux supporters d'être enthousiastes. Qu'ils le soient encore plus. Cette ferveur est agréable." Si on a l'accord du patron...

Et à part ça

A part ça, il y a "Papa Koscielny" qui était à Tulle pour voir le fiston faire un bon match. Et puis TF1 les a mis en relation par téléphone. Mais ça n'a pas marché. Et ça a duré... duré... duré... "Allo tu m'entends ? Oui je t'entends ! Mais tu m'entends ? Oui je t'entends..." ça nous a fait sourire. Par contre Estelle Denis ça l'a fait beaucoup rire.

Ah oui encore un truc. Rihanna aime bien Benzema et elle peut "sentir sa (ta) douleur" quand l'attaquant ne parvient pas à marquer. En fait, ça ne nous intéresse pas vraiment mais c'était à peu près tout ce qu'il s'est passé hier.