BRESIL 2014

Coupe du monde 2014

Attention, les femmes débarquent !

Demain soir, à l'issue du match Equateur-France, les footballeurs français retrouveront leur famille. Fraîchement débarquées au Brésil, les "femmes de" font déjà parler d'elles.

femme Sagna

Cela fait 25 jours que les Bleus n’ont vu ni femme, ni enfants. On entend déjà certains d’entre vous lâcher un petit « le rêve ! » mais on va faire comme si on n’avait rien entendu. Demain, à l’issue du troisième et dernier match des phases de poules face à l’Equateur, les joueurs de Didier Deschamps retrouveront leur famille. Pendant 24 heures, ils auront quartier libre à Rio et pourront profiter de leur moitié et de leur progéniture. Pour fêter la qualification ?

Depuis 1998, la Fédération française de football gère les déplacements, l’accueil et l’hébergement des familles des joueurs lors des grandes compétitions. La majorité des compagnes a donc débarqué au Brésil dans un vol spécialement affrété par la FFF. Parmi elles, Ludivine Sagna, Fiona Cabaye, Sandra Evra et Claire Koscielny qui n'ont pas tardé à se réjouir sur les réseaux sociaux de leur venue :

D’autres sont déjà sur place comme c’est le cas de Tiziri, la copine de Lucas Digne, qui inonde Twitter de ses photos des plages brésiliennes :

En attendant l’heure des retrouvailles, les femmes de footballeurs ont prévu de faire un peu de tourisme à Rio ou Copacabana. Et il n’aura pas fallu bien longtemps pour que les femmes des Bleus fassent parler d’elles. Selon Canal Plus, mécontentes de l’hôtel qui leur était réservé (un modeste quatre étoiles), elles seraient allées se plaindre de leurs conditions d’hébergement auprès de la FFF qui aurait fait tout son possible pour leur dégoter un cinq étoiles plus glamour. L’info est à prendre avec des pincettes. Après tout, quand on voit à quel point leurs maris se démènent pour tenter de faire amende honorable auprès du public français, elles n’iraient quand même pas ruiner tous ces efforts en quelques heures ? On espère juste qu’elles ne descendront pas dans la rue pour manifester leur mécontentement quant à la qualité du coton des serviettes ou la puissance du sèche-cheveux.